Oezda Qam
Au départ tourné vers le monde entrepreneuriale et le marketing, l’histoire de mon peuple est rapidement devenue une nouvelle passion.
à propos de moi
Ayant compris que mes connaissances sur l’histoire de mes origines étaient limitées, j’ai parcouru plusieurs blog pour essayer d’en savoir plus. Mais finalement, après avoir acheté mes propres premiers livres, rédigés par des chercheurs, je me suis rendu compte que la plupart des récits que je pouvais lire étaient en réalité faux, ou très incomplets.
Cette constatation étant d’autant plus vraie pour les blogs francophones, qui racontent d’ailleurs très peu l’histoire avant les guerres de 90-2000, j’ai voulu démarrer ma propre page instagram pour partager, en français, ce que j’apprenais directement depuis les livres des chercheurs.
Avec l’objectif de moi-même mieux comprendre l’histoire en la racontant avec mes mots, mais aussi dans le but de casser quelques fausses légendes qui se transmettent, j’ai créé ma page, Oezda Qam, sur laquelle je partage des résumés explicatifs des avis des différents chercheurs à propos d’un sujet précis.
En lien avec un sujet secondaire que j’ai choisis d’aborder, j’ai également créé une seconde page, Noxchi Maps, afin de partager les différentes cartes que je trouves.
N’étant pas le seul à me passionner pour l’histoire Tchétchène et Ingouche, et souhaitant rendre l’information plus accessible, j’ai voulu créer oezda-qam.fr afin d’y publier mes résumés explicatifs, et permettre à d’autres passionnés d’en faire de même.
Sujets favoris
Ethnogenèse et Ethnonymie
Histoire ancienne
Légendes, croyances et religions
De la genèse du peuple à l’arrivée du Moyen-âge, mes sujets préférés sont les plus mystérieux. L’incertitude qui plâne, et parfois le manque de documentation, rend les recherches plus interessantes et plus captivantes. On se rend vite compte qu’il existe rarement une version unique, et que demain, peut-être, nous découvrirons une nouvelle preuve qui viendra contredire toutes nos croyances.
De plus, souvent dépeints comme des montagnards solitaires et isolées, le folklore nous prouve que les contacts avec les autres populations ont été bien plus fréquents qu’il n’y paraît.